top of page

Article dans Le Journal des Entreprises


Comme annoncé, nous avons été très occupés ces derniers mois.

Ce bel article tout récemment paru dans le Journal des Entreprises vous explique pourquoi et ce que l'avenir nous réserve.


Et en voici une copie.

Fabricant de pièces par impression 3D, l'Angevin Exprezis espère boucler une levée de fonds de 500 000 euros d’ici l’été. Objectifs : étoffer son parc de machines (six unités aujourd’hui), créer un showroom dans son atelier des Ponts-de-Cé, mais surtout ouvrir une nouvelle agence dans l’Ouest en 2018. Voire pourquoi pas une troisième à Paris par la suite. Un projet avec plusieurs recrutements à la clé.

De la pièce plastique à l’objet en argent

Exprezis (3 salariés) prend des commandes allant de la pièce unique à plusieurs milliers d’unités, pour équiper des outils industriels, réaliser des prototypes, des maquettes, objets marketing, etc.

En interne, la TPE utilise des imprimantes 3D utilisant des systèmes de dépôts de fil plastique et de résines. Mais elle peut aussi proposer des pièces en acier, en laiton, en titane ou encore en argent, via un réseau de sous-traitants. Un réseau constitué grâce à un système astucieux. En effet, lesdits sous-traitant vont de l’auto-entrepreneur à l’entreprise de métallurgie et aux bureaux d’études, qui utilisent une imprimante 3D à temps partiel pour leur activité... Et qui souhaitent occuper leur machine le reste du temps.

Livraison pour Scania et la FFF

Travaillant essentiellement en BtoB, Exprezis revendique une centaine de clients réguliers, comme le constructeur de poids lourds Scania. « Nous leur avons livré par exemple des pièces en nylon destinées au calage d’éléments de carrosserie, pour l’usine d’Angers et même pour la Suède, indique le dirigeant d'Exprezis, Edwin Robertson. L’intérêt étant de faire chuter le coût de ces pièces qui s’usent rapidement, tout en proposant un délais de livraison deux à trois fois plus rapide. » Dans un tout autre domaine, l'entreprise a livré une maquette de complexe sportif pour la fédération française de football (FFF) .

Créée il y a trois ans par Edwin Robertson, la jeune entreprise commercialise aussi des machines et propose des formations aux technologies d’impression.Elle vise un chiffre d’affaires de plus de 300.000 euros cette année.

Un grand merci à Florent Godard.

100 vues0 commentaire
bottom of page